INITIAM visite les déplacés du camp de Kahembe : une démarche pour répondre à une urgence humanitaire
Ce lundi 30 décembre 2024, l’organisation #INITIAM a effectué une visite auprès des déplacés vivant dans le camp de Kahembe. Cette initiative visait à évaluer les difficultés quotidiennes auxquelles cette communauté vulnérable fait face, dans le but de proposer des solutions concrètes.
Lors de cette visite, les témoignages recueillis ont mis en lumière trois problématiques majeures : l’éducation des enfants, l’accès à des soins de santé de qualité et la disponibilité d’eau potable. Ces besoins essentiels, décrits par une mère de famille interrogée, représentent des défis cruciaux pour la survie et le bien-être de cette population déplacée.
Des besoins fondamentaux en suspens
Le problème de l’éducation a été particulièrement souligné par les mères de famille, qui craignent pour l’avenir de leurs enfants privés d’école en raison du manque de salles de classe. « Nos enfants grandissent sans éducation. Nous voulons qu’ils aient un avenir meilleur, mais ici, il n’y a pas d’écoles adaptées à leur situation », a confié une habitante.
En matière de santé, le camp manque cruellement d’infrastructures médicales et de médicaments, ce qui laisse de nombreuses familles sans assistance en cas de maladie. « Souvent, même pour une maladie grave, nous ne trouvons que du paracétamol ou des aspirines, peu importe la gravité du cas », a rapporté un habitant. Il a ajouté : « Il y a quelques semaines, une femme enceinte est décédée après avoir accouché en cours de route, faute de soins appropriés et d’hôpital à proximité. »
À cela s’ajoute une pénurie d’eau potable, obligeant les habitants à passer presque toute la journée sous le soleil à attendre. « Il n’y a qu’un seul réservoir pour approvisionner toute la population en eau », déplore une mère de famille.
Un appel urgent à l’action
Face à cette situation, #INITIAM a réaffirmé son engagement à apporter des réponses rapides et efficaces. « Ces trois aspects – l’éducation, la santé et l’eau potable – sont primordiaux pour garantir la dignité et la survie de tout être humain. Il faut agir d’urgence », a déclaré un représentant de l’organisation.
Cette descente sur le terrain marque une étape importante dans l’identification des besoins des déplacés du camp de Kahembe. #INITIAM prévoit de collaborer avec d’autres organisations humanitaires, les autorités locales et les donateurs pour élaborer et mettre en œuvre des solutions adaptées.
Vers une action concrète
Les déplacés du camp de Kahembe, victimes des conflits armés, espèrent que cette visite portera rapidement ses fruits. Leur quotidien, marqué par des privations, nécessite une réponse coordonnée et durable. #INITIAM se donne pour mission de mobiliser les ressources nécessaires afin d’améliorer leurs conditions de vie, dans l’espoir d’un avenir plus prometteur pour ces familles.
Lors de cette visite, les témoignages recueillis ont mis en lumière trois problématiques majeures : l’éducation des enfants, l’accès à des soins de santé de qualité et la disponibilité d’eau potable. Ces besoins essentiels, décrits par une mère de famille interrogée, représentent des défis cruciaux pour la survie et le bien-être de cette population déplacée.
Des besoins fondamentaux en suspens
Le problème de l’éducation a été particulièrement souligné par les mères de famille, qui craignent pour l’avenir de leurs enfants privés d’école en raison du manque de salles de classe. « Nos enfants grandissent sans éducation. Nous voulons qu’ils aient un avenir meilleur, mais ici, il n’y a pas d’écoles adaptées à leur situation », a confié une habitante.
En matière de santé, le camp manque cruellement d’infrastructures médicales et de médicaments, ce qui laisse de nombreuses familles sans assistance en cas de maladie. « Souvent, même pour une maladie grave, nous ne trouvons que du paracétamol ou des aspirines, peu importe la gravité du cas », a rapporté un habitant. Il a ajouté : « Il y a quelques semaines, une femme enceinte est décédée après avoir accouché en cours de route, faute de soins appropriés et d’hôpital à proximité. »
À cela s’ajoute une pénurie d’eau potable, obligeant les habitants à passer presque toute la journée sous le soleil à attendre. « Il n’y a qu’un seul réservoir pour approvisionner toute la population en eau », déplore une mère de famille.
Un appel urgent à l’action
Face à cette situation, #INITIAM a réaffirmé son engagement à apporter des réponses rapides et efficaces. « Ces trois aspects – l’éducation, la santé et l’eau potable – sont primordiaux pour garantir la dignité et la survie de tout être humain. Il faut agir d’urgence », a déclaré un représentant de l’organisation.
Cette descente sur le terrain marque une étape importante dans l’identification des besoins des déplacés du camp de Kahembe. #INITIAM prévoit de collaborer avec d’autres organisations humanitaires, les autorités locales et les donateurs pour élaborer et mettre en œuvre des solutions adaptées.
Vers une action concrète
Les déplacés du camp de Kahembe, victimes des conflits armés, espèrent que cette visite portera rapidement ses fruits. Leur quotidien, marqué par des privations, nécessite une réponse coordonnée et durable. #INITIAM se donne pour mission de mobiliser les ressources nécessaires afin d’améliorer leurs conditions de vie, dans l’espoir d’un avenir plus prometteur pour ces familles.